Agence d'écriture

     Filles-Des-Enfers - .../20

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Les vacances? Je ne connais plus tellement ce mot. Depuis Août 2016, un petit centre de tourisme équestre s'est installé offrant l'équitation que je recherchais. Alors, où passer mon été 2017? La réponse était évidente; dans ce centre de tourisme équestre, où je suis devenue une cavalière TREC-iste.

Ce petit terrain, autrefois abandonné, rénové par la responsable. Ses quelques paddocks pour le troupeau de rêve. Le Club House, habillé des splendides œuvres de la propriétaire des lieux. Un petit bureau chaleureux et convivial, où l'on passerai tout son temps, au milieu de la sellerie. 
Cette petite écurie à taille humaine semble aussi souriante que le plus heureux des enfants.

L'odeur du foin qui enveloppe l'allée, les portes bleues qui offrent un éclat heureux au bâtiment. 
Les chevaux vivant leur vie de chevaux d'extérieur. Le soleil qui fait ressortir le blanc du bâtiment, donnant une éclatante atmosphère à l'écurie. Forcément quelques crottins dans l'allée montrent leur présence, illustrant l'innocente modestie du lieu. Mes yeux ne savent plus quoi regarder, quoi admirer, si bien qu'ils passent d'un aspect à l'autre, et reviennent pour mieux détailler.

Mes oreilles se joignent aussi en tant que spectateur devant ce cadre chaleureux, ne laissant aucun son leur échapper. Les rires qui se font entendre. La bonne humeur, dans sa mélodie, semble faire danser les arbres qui entourent les paddocks. Le doux chant de la rivière en contrebat, contrastant avec les cris des moteurs automobiles qui passent en continue.
Le flottement des flots au couleurs éclatantes.
L'hennissement des chevaux, provoquant les réactions gagas de la part des cavaliers. 

Ce petit centre de tourisme équestre, où respire l'humanisme, la joie de vivre et bonne humeur, embelli par les belles journée des l'été, est l'image d'un conte réel.

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     Note mise par Laurelinelarose : .../20

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          (Commentaire complet en attente)

          Petite précision pour les autres jurés : les personnages ont été autorisés car décrits comme

          faisant partie intégrante du décor.

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     Wokaya - .../20

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Il était un jour ensoleillé, un jour où tout n’était que sérénité.
Les feuilles volaient et les arbres tanguaient, le vent faisait des siennes.
L’eau coulait le long du canal, elle semblait danser avec le courant.
Tout semblait si beau, si poétique.
Il y avait, non loin du canal, une petite colline où jouaient les enfants aux milles visages.
Cette colline, si elle avait pu parler, aurait certainement conté l’histoire de chacune de ses blessures.
Elle était si verdoyante, et si abîmée à la fois, et là était tout son charme.
Au-dessus de cette dernière se trouvait un arbre, un grand chêne vieux de quelques dizaines d’années.
Oh lui aussi, il en aurait eu des choses à raconter s’il avait pu parler.
Ses feuilles tombaient face au doux mouvement du vent, pour finir leur course en bas, dans la rivière.
Son tronc était gravé de mots. Des mots d’amour, des mots d’espoir, ce chêne gardait en lui toute la beauté de l’être humain qui le contactait.
Eux ne savaient sans doute pas qu’il existait des sentiments derrière ce tronc, mais peu importe car ce géant de bois était fier de ses cicatrices, il les exhibait.
Un peu plus bas, par-dessus le courant, se trouvait un petit pont.
Il semblait flotter sur l’eau, ne connaissant aucune gravité.
Ah, ce qu’il a dû en voir passer des histoires lui aussi.
Il était fait de pierre pure, vieillie par les années et frottée par le fracas de gouttes de pluie.
La pluie d’ailleurs, on sentait qu’elle était apparue il y a peu de temps.
L’on pouvait encore sentir sa présence dans l’air, mais surtout dans l’herbe.
Ce doux parfum qu’elle avait apporté, c’est celui-là même qu’il ne faudrait jamais oublié.
Tout ce petit jardin, c’était comme un coffre rempli de trésors. Il apportait tout le bonheur à l’enfant et l’inspiration à l’artiste.
 
Ce petit coin de paradis, c’était sans doute ce qu’il y avait de plus beau dans cette chose merveilleuse qu’est la nature.

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     Note mise par Lizzy-Vintage : .../20

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          Texte beau, texte poétique. Bon respect des consignes, tu m'as fait voyager. Félicitations.

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     Note mise par Laurelinelarose : .../20

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     Dollza374 - .../20

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Une douce odeur de sel. Un coup de vent frais. Le sable chaud. Le bruissement des vagues.

Cette vue est à couper le souffle. Un magnifique sable d'une couleur dorée et plus loin, une mer d'une teinte bicolore. Près du sable elle est presque transparente, bleu claire et plus loin, là où l'on ne peux y voir qu'une ligne qui coupe la mer et le ciel en une ligne bien droite, elle était bleu foncée. 

Le bruissement des vagues est une douce mélodie à l'oreille, telle une musicienne la nature nous fait profiter de ses dons, de sa magie. A chaque coup de vent, une douce odeur de sel se fait sentir et le sable s'élève, volant et tourbillonnant en se laissant porter par le vent et au rythme de la musique qui nous enveloppe tel un cocon dans lequel la chenille se transforme.

Au bord de l'eau, sur le sable, les vagues venaient se jeter parfois avec douceur et parfois avec fracas laissant entendre un bruit sourd. L'eau amenait avec elle de petites choses telles que des cailloux ou de jolis coquillages aux apparences aussi variées que multiples.

Une odeur flottant dans l'air. Une fraîcheur d'été. Le sable doré. La musique de la nature.

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     Lizzy-Vintage : 16/20

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          Bon texte dans l'ensemble même si il y a trop de répétitions et parfois des phrases trop

          longues, mal ponctuées. J'ai noté aussi quelques fautes de conjugaison. Sinon ton texte est

          assez poétique et la consigne est respectée.

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     Note mise par Laurelinelarose : .../20

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     Roky973 - .../20

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L’autoroute des deux mers est une autoroute française qui relie l’océan Atlantique à la mer Méditerranée en passant par Toulouse. 
C’est aux abords d’Agen qu’une petite voiture bleue donc le logo de la marque était constitué de deux chevrons pénétra sur l’A62 qui reliait Bordeaux et Toulouse. La circulation au niveau de la bretelle était plutôt fluide même si quelques personnes âgées avaient décidé d’embêter les vacanciers qui descendaient vers le Sud et la plage, ou alors qui allaient simplement à Toulouse pour soutenir une très bonne équipe de rugby.
Les kilomètres s’enchaînaient et la route défilait sous les roues des véhicules présents sur l'asphalte. Les abords de l’autoroute étaient vraiment magnifiques ! La verdure, les arbres et les champs formaient un tableau qui avançait petit à petit, découvrant villages ou éoliennes.
Roulant à plus de 100 kilomètres à l’heure, les voitures, camions, et autres moyens de transport, durent ralentir au niveau du périphérique de Toulouse et leur vitesse passa alors à 80 kilomètres à l’heure. Celle-ci ne pouvait pas être plus rapide car les Toulousains avaient décidé de tous sortir se balader sur la route à ce même moment. De plus, il y avait divers travaux, ce qui, vu de dessus, devait surement faire de jolies lignes continues de voitures quasiment à l’arrêt et de toutes les couleurs !
Après le passage au niveau du périphérique Toulousain, la route changea de nom et se transforma alors en A61 qui longeait le canal du midi ! Plus le Sud se rapprochait, plus les paysages perdaient de leur verdure, passant de vert éclatant à marron mourant. 
Passant près de Castelnaudary, la ville du Cassoulet, les panneaux touristiques de lj’autoroute montrait des images de nourritures qui devaient surement affamer les conducteurs au volant de leur automobile.
Peu après la ville du cassoulet, la vitesse ralentit considérablement !
Un convoi de 2 chevaux avait pris place sur l’autoroute ! Et sur les deux voies, qui plus est !
Il devait y avoir au moins une bonne dizaine de voitures dont certaines étaient remorquée et d’autres roulaient à une vitesse avoisinant les 80 kilomètres/heures. Lorsque les voitures à l'allure rapide les dépassèrent enfin, les couleurs se firent plus claires : rouge, orange, jaune, vert, bleu, violet … Il y avait des voitures de toutes les couleurs, et aucune ne ressemblait à une autre ! C’était un très beau moment !
C’est alors que Carcassonne approcha. 
Une petite voiture bleue suivit alors les panneaux et quitta ensuite l’A61 et l’Autoroute des deux mers, des souvenirs pleins la tête …

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     Lizzy-Vintage - .../20

 

Les octosyllabes et les ennéasyllabes lorraines
 

Un léger bruissement de feuilles
L'herbe frémit sous ses petits pas
Une branche ploya sous l’écureuil
Un léger trèfle exquis s'affaissa
Le vent s'engouffra dans les feuillus
Un mouton picora la verdure
Un grand cèdre prestement mourut
Le mince agneau broya la sciure
Un résinifère étendu
Une nuée d'animaux suivit
L'arbre tout contre la maison
Une magnifique vue depuis
Un perron de l'habitation
La demeure surplombait le pré
Une ouverture laissait entrer
Un imperceptible souffle de vent
Le jardin qui toujours l'entourant
Un fin chemin longeant le domaine
Une poule près de la fontaine
Les infimes nouveau-nés jaunes
Un nid remplit de toute la faune
Un généreux vent sifflait dans
Un bois à l'arrière-plan se trouvant
Les trèfles goûtés par les brebis
Une branche ne fut plus que débris
Un responsable qu'est l’écureuil
Un léger bruissement de feuilles

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